Les Huit Salopards

Personne ne vient ici sans raison

20153 h 00 min
Résumé

Après la Guerre de Sécession, huit voyageurs se retrouvent coincés dans un refuge au milieu des montagnes. Alors que la tempête s'abat au-dessus du massif, ils réalisent qu'ils n'arriveront peut-être pas à rallier Red Rock comme prévu...

Métadonnées
Titre Les Huit Salopards
Titre original The Hateful Eight
Réalisateur Quentin Tarantino
Durée 3 h 00 min
Date de sortie 25 décembre 2015
Pays  États-Unis
Budget $44 000 000
Recettes $155 760 117
Détails
Média
Statut Disponible
Note Très bon
Images
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Avis CinéSam (film vu le : 04/11/2020)

D’ordinaire je n’aime pas les westerns, mais vu qu’il s’agit d’un Tarantino (QT pour les intimes), je me devais de le regarder, c’est l’occasion vu que les cinémas sont fermés en ce moment ; autant regarder des bons films à la maison.

Bon, il ne me reste plus que 3-4 films à voir pour boucler sa filmographie !

Comme à chaque fois que je regarde une œuvre écrite et réalisée par QT, le début me semble long et je me dis que “ça va être barbant..” (surtout en voyant la durée totale du long-métrage : 2h47 !). Cependant plus je regarde et plus je veux voir jusqu’à la fin car QT a l’art de captiver l’attention du spectateur.

Du suspense, un brin d’humour, de la violence aussi (vers la fin) sont les ingrédients habituels qui font la bonne recette. Sa manière de construire l’intrigue est très reconnaissable également, avec des longs dialogues, des longs plans, des scènes travaillées selon les angles précis, un chapitrage annoncé et titré (et même commenté en brisant le 4ème mur !)… et quelques plans sur des chaussures, pas de pieds nus cette fois, sauf inattention de ma part… Le caméo traditionnel du réalisateur apparait seulement dans la voix off du narrateur.

On retrouve aussi la thématique sous-jacente du racisme, déjà présente plus fortement encore dans son précédent film, Django Unchained (2012). Les deux réalisations se font écho, c’est probablement voulu de la part de QT.

Pour la musique, c’est Ennio Morricone qui a été appelé, un bel hommage aux “westerns spaghettis”. Je n’ai pas spécialement remarqué la musique, à part dans les moments de tension, d’angoisse avant que quelque chose de fort se passe, car elle accentuait bien cette tension.

On remarque que selon les affiches, les graphies peuvent changer. Ici en français le titre s’écrit avec le “8” en chiffre arabe (et parfois faisant le O de “salopard”), alors qu’en anglais (VO donc), il est plus souvent écrit en toutes lettres. C’est aussi le huitième film de QT, je ne crois pas que cela soit une coïncidence…!

Par contre une chose que je n’arrive pas bien à déterminer est qui sont exactement ces 8 salopards ? J’hésite sur le shérif, en est-il un ou pas ? Et la prisonnière ? Le major ? Le vieux général ? Pour moi la prisonnière peut en faire partie, mais pas le shérif, ni le général (quoique). Quant à Samuel L. Jackson (le major), cela dépend de la part de vérité dans tout ce qu’il a raconté… Qu’en pensez-vous ?

Après avoir écrit cet avis, je suis très curieux d’en écouter et d’en lire d’autres !

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