Résumé
Hank Thompson a été un joueur de baseball prodige au lycée, mais désormais il ne peut plus jouer. À part ça, tout va bien. Il sort avec une fille géniale, il est barman la nuit dans un bar miteux à New York, et son équipe préférée, donnée perdante, est en train de réaliser une improbable remontée vers le titre. Quand son voisin punk lui demande de s'occuper de son chat pendant quelques jours, Hank ignore qu'il va se retrouver pris au milieu d'une bande hétéroclite de redoutables gangsters.
Avis CinéSam (film vu le : 31/08/2025)
Se replonger dans le New York des années 1990, tel que le fait Darren Aronofsky (le réalisateur de Black Swan et The Whale, parmi d’autres) dans Pris au piège, c’est entrer dans un thriller policier avec des aspects de comédie 🎭🔪, étrange cocktail où l’humour noir se faufile entre des situations dramatiques et parfois absurdes. Le scénario, adapté du livre de Charlie Huston, s’appuie sur une intrigue haletante où un simple service rendu — garder le chat 🐈 d’un voisin punk — devient le point de départ d’une descente aux enfers faite de violences, de mensonges et de trahisons.
À l’écran, Austin Butler (vu dans Elvis,…) incarne Hank avec une intensité remarquable 😮🔥. On sent ses fêlures, ses doutes, mais aussi une force fragile qui le rend immédiatement attachant. Zoë Kravitz apporte, avec Yvonne, un contrepoint sensible mais ne crève pas l’écran, tandis que Matt Smith (inoubliable pour moi dans Dr Who et vu dans Last Night in Soho, entre autres) campe un voisin imprévisible, charismatique et légèrement inquiétant 🤯. Autour d’eux, des figures secondaires hauts en couleur renforcent cette galerie de personnages coincés entre destin tragique et absurdité humaine.
La présence de tabac 🚬, utilisée lors d’une scène de séduction, paraît accessoire, presque superflue. À l’inverse, l’alcool 🍺 est brillamment intégré à l’histoire, traduisant la fragilité des personnages et accentuant la tension dramatique. Les drogues 💊, quant à elles, planent à la périphérie du récit, dans ce genre de films elles sont souvent la cause de tous les malheurs des personnages.
Sur le plan visuel, Aronofsky livre des plans filmés intéressants 🎥 : la caméra se faufile dans et autour des voitures 🚗, se glisse entre les immeubles 🏙️, et use parfois de prises de vue étonnantes grâce à des drones 🛸. Le tout soutient une mise en scène nerveuse, renforcée par des flashbacks rapides ⏪, qui éclairent subtilement le passé du héros sans ralentir l’action.
Même si le film flirte parfois avec la comédie 😂, il n’est jamais vraiment drôle, car la gravité des situations domine et empêche tout vrai relâchement. Les rebondissements 😲 sont bien amenés, certains parviennent à surprendre sans bouleverser complètement l’équilibre narratif. On garde en mémoire ce mélange de tension et de dérision, comme un numéro d’équilibriste permanent.
Reste ce fameux chat 🐾, fil rouge énigmatique, qui donne le sentiment d’être moins exploité qu’il n’aurait pu l’être. Était-ce un symbole, une simple diversion, ou un clin d’œil volontairement obscur ? 🤔 Je me suis posé la question bien après la séance. Par moments, l’ensemble évoque Argylle 🕵️♂️, avec son mélange d’espionnage décalé, de danger et de dérision, même si Aronofsky garde une tonalité plus sombre et (un peu) désespérée.
En résumé, Pris au piège – Caught Stealing (littéralement « attrapé en train de voler ») est un divertissement d’action sympathique, sans grande prétention et qui se laisse regarder.
Sources :
allocine.fr, sonypictures.fr, fr.wikipedia.org, troiscouleurs.fr, telerama.fr, digitalcine.fr, cnews.fr, senscritique.com
Cet avis a été écrit avec l’aide de l’intelligence artificielle.
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