L’art d’être heureux

L'Art d'être heureux

20241 h 50 min

Résumé

Jean-Yves Machond, peintre mondialement méconnu et globalement malheureux, décide un jour de changer de vie. Il va chercher l’inspiration dans une petite ville normande, afin de concevoir un chef-d’œuvre qui lui vaudra enfin gloire et reconnaissance éternelle. Mais sa rencontre avec les artistes locaux, du chaleureux Bagnoule à l’habile Cécile, va quelque peu le faire dévier de son chemin, et le mettre face à son rêve le plus profond : celui d’être un homme heureux, tout simplement.

Métadonnées

Titre L'Art d'être heureux

Titre original L'Art d'être heureux

Réalisateur Stefan Liberski

Durée 1 h 50 min

Date de sortie 30 octobre 2024

Pays Belgique, France

Budget 0

Recettes 0

Site officiel —

Détails

Média —

Statut Disponible

Note Moyen

Images

Aucune image importée pour ce film.

Acteurs

Avec : Benoît Poelvoorde, Gustave Kervern, Camille Cottin, François Damiens, Laurence Bibot, Lorella Cravotta, Marine Dandoy, Clément Corillon, Ambre Grouwels, Alain Belot, Laetitia Reva, Frédéric Clou, Dam Sae Chiu, Francesca Casu, Gabriel Depasse, Benjamin Lichou, Florian Jubin, Chloé Larrère

Avis CinéSam (film vu le : 19/11/2024)

Stefan Liberski adapte le roman « La dilution de l’artiste » (2001) que je ne connaissais pas du tout, avec Benoît Poelevoorde en rôle principal dans une comédie légèrement intellectuelle.

L’ensemble est amusant mais pas autant que je le pensais, j’ai pouffé à quelques moments , sans plus. Cependant le casting est excellent, je n’ai rien à redire, et même les rôles secondaires (Laurence Bibot, François Damiens…)

Les motivations des personnages sont parfois très étranges. Si le choix de la maison qui est en soi une œuvre d’art peut paraître cocasse, on peut le comprendre de la part d’un artiste. Toutefois les motivations de la galeriste Cécile (jouée magnifiquement par Camille Cottin) sont très floues pour moi, je n’ai juste pas compris… est-elle juste un peu folle ? On la voit pourtant fort intelligente et calée en art. Ou bien est-ce un jeu malsain d’un couple qui s’ennuie ?

En tout cas le moins qu’on puisse dire est que les artistes sont dans leur monde un peu à part, ils ont leur philosophie de vie propre, parfois incomprise, même d’autres artistes. Avait-on besoin d’un film pour cela ?

D’habitude j’apprécie le surréalisme belge, là j’ai moins apprécié, cela tend trop vers « l’artsy » pour moi.

Aussi l’épilogue est un peu abrupt.

*ATTENTION spoiler ! (cliquer pour lire quand-même)

On pouvait se douter et deviner que la fille aux cailloux est la fille de Machond ; toutefois l’actrice (Marine Dandoy) joue si bien que je n’y ai pas du tout pensé…

Je sors donc un peu déçu tout de même, je trouve que « L’art d’être heureux » est une façon compliquée d’essayer de dire que le bonheur réside dans le fait d’être bon et d’aider les autres.