Résumé
Le détective Benoit Blanc collabore avec un jeune prêtre pour enquêter sur un crime totalement inexplicable perpétré dans l'église d'une petite ville au sombre passé.
Avis CinéSam (film vu le : 23/12/2025)
Wake Up Dead Man : Une histoire à couteaux tirés, c’est encore un épisode à couteaux tirés réalisé par Rian Johnson, et j’ai franchement pas boudé mon plaisir devant ce bon whodunnit bien ficelé 🕵️♂️. Il s’agit donc du troisième opus après À couteaux tirés (2019) et Glass Onion (2023), du même réalisateur.
On retrouve Benoît Blanc, toujours incarné par Daniel Craig, ce “Hercule Poirot américain” au charme désinvolte et aux répliques ciselées, qui débarque dans une petite paroisse de Nouvelle‑Angleterre pour résoudre un crime impossible : un monseigneur charismatique et odieux, joué avec une présence terrifiante par Josh Brolin, est retrouvé poignardé dans son église, au cœur d’un culte de la personnalité qu’il a lui‑même construit 🕯️.
L’intrigue s’attaque à un sujet intéressant, celui des croyances religieuses, des faux prophètes et des bas desseins pour l’argent, ce qui donne une épaisseur presque gothique au récit 🕯️. Autour du cadavre, une galerie de suspects tous plus ambigus les uns que les autres, et là, quel casting ! L’interprétation magistrale de Glenn Close en femme de l’ombre, dévouée mais prête à tout, et celle de Josh O’Connor en jeune prêtre tourmenté, entre foi et violence passée, sont vraiment excellents 🎭. Les autres personnages sont aussi très bien campés, chacun portant ses secrets, ses mensonges et ses obsessions, ce qui rend l’atmosphère à la fois tendue et terriblement vivante 🕵️♂️.
Le film dure un peu plus de deux heures, mais le bon rythme tient en haleine du début à la fin, sans jamais s’essouffler 🕰️. Entre les scènes d’enquête serrées et les moments de tension religieuse, Rian Johnson glisse aussi de l’humour, souvent grinçant, qui fait mouche sans jamais trahir le ton sombre du fond 🤭. On rit, on soupçonne, on se trompe, et on se laisse embarquer dans ce labyrinthe de mensonges, de faux miracles et de cupidité, jusqu’à la révélation finale qui, comme dans les meilleurs whodunnits, remet tout en question 🕵️♂️.
En sortant, j’avais le sourire : un bon whodunnit, un Benoît Blanc toujours aussi élégant, un casting XXL au top, et une histoire qui joue intelligemment avec la foi, le pouvoir et l’argent, le tout dans une ambiance d’épisode à couteaux tirés qui ne m’a pas déçu du tout 😄.
Sources : Allocine, JournalduGeek, Critikat, SensCritique, Wikipedia, Netflix, Cloneweb, Creative, imdb, Youtube
Cet avis a été écrit avec l’aide de l’intelligence artificielle.
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